Dreux 1995 - à ce jour

Première licence dans ce club en 1972, le stand 25/50 m n'existe pas et je ne vais qu'au 10 m.
Licence reprise en 1982 puis 1983 : je tire au stand militaire 200 m.
Licence reprise chaque année à partir de 1995. Je tire au stand militaire 200 m (très souvent le dimanche) et surtout au 25/50 m (chaque samedi pendant 8 à 10 h d'affilée). Auprès des anciens, présents au 25/50 m, je m'étonne de ce que je constate. Monsieur COGIS me rétorque que c'était bien pire à la création de ce 25/50 m, le far west.

J'ai pu voir avec mes yeux sur ces dernières années (1995-2010):
 . des balles tirées volontairement en dehors du stand : licenciés (??) dans le stand et licenciés (??) à l'extérieur du stand
 . 2 civils licenciés s'amusent à tirer angulairement sur la paroi du stand pour tenter de centrer à 25 m leur balle dans le visuel : le billard 'à bande' mais avec arme de poing. J'en parle au président du club : aucune réaction
 . 2 autres civils tirent avec armes interdites (2 50 BMG différentes avec frein de recul dans le stand 200 m, limité au calibre 10 mm) : ceci avec l'accord ultérieur du président de la Ligue,  Monsieur Gilles DUMERY, malgré plusieurs alertes écrites de Pierre DEROUET, témoin des tirs répétés et futur exclu du club (exclu avec l'accord du président DUMERY)
 . des gens (militaires et civils) manipulent une arme alors qu'on vient de leur dire de sortir du pas de tir car des gens sont aux cibles
 . des militaires (plusieurs fois) et des civils (plusieurs fois) approvisionnent des armes et font des exercices de visée alors que des tireurs sont aux cibles
 . un ANTONIAZZI (décérébré civil) vise 2 fois de suite sa cible (chien à l'armé !!) à 20 minutes d'intervalle alors que plusieurs licenciés sont aux cibles (1)
 . un Emmanuel PRAT (militaire) considère que les règles de sécurité affichées ne sont valables que pour les civils
 . voir topic dédié : ce même militaire assermenté ne réagit pas après qu'il ait constaté qu'on a tiré volontairement dans ma direction au 38 special
 . des civils tirent volontairement vers quelqu'un pour rigoler un bon coup (expérience subie personnellement 5 fois en 5 ans (et je ne suis pas le seul !!!))  
 . un civil Eric BILLON me braque au 45acp colt (chargé) (cartouche dans le canon ?) car il ne veut pas me rendre les clés du stand. Le président, alerté, ne réagit pas
 . les consignes de sécurité arrachées du panneau d'affichage
 . la clochette de sécurité constellée d'impacts de tout calibre, une semaine après qu'elle ait été placée d'une façon optimiste par le président du club
 . des tirs effectués (par des licenciés ?) à contre sens : postés aux cibles, ils tirent dans le gong  
 . plus de 100 impacts de gros calibre dans le plafond (voir photos sur ce site) pour apporter de la lumière
 . des tireurs (licenciés ?) s'amusent à tester dans les parois du stand la puissance de leur cartouche. Le président Adrien BUDELLI voit les dégâts et ne fait rien. Les trous ont été rebouchés au ciment par une personne (exclue ensuite) : Serge DEROUET
 . des licenciés civils ne connaissent manifestement rien sur le fonctionnement de leur arme (0 tir contrôlé par an, pendant plus de 10 ans)
 . des gens (civils licenciés et non licenciés) dirigent par inadvertance leur arme chargée vers d'autres licenciés sur leur droite ou leur gauche et certains s'énervent quand on leur fait une remarque
 . plusieurs vieux licenciés (civils) avec arme chargée (cartouche dans le canon) à la ceinture en dehors du stand et ceci des dizaines de fois
 . le président du club Adrien BUDELLI me bloque le pied et me pousse de son épaule, devant témoins qui laissent faire, alors qu'il voit clairement que je tiens dans ma main une arme chargée (2)
 . 2 personnes du comité de direction (3) du club (Alain FOURRIER et Stéphane JOSEPH (ce dernier est en 2010 membre du Comité Départemental de tir et prétendu garde-champêtre assermenté) ont tiré volontairement plusieurs fois vers d'autres licenciés à l'arme à feu et votent ensuite pour l'exclusion de licenciés qui ne sont pas d'accord avec leur façon de faire
. le tir volontaire de Stéphane JOSEPH en ma direction se fait en présence de nombreux témoins (dont Adrien BUDELLI) lors d'une Journée Portes Ouvertes que j'organise
 . 99,99 % des témoins préfèrent ne rien dire, ne rien écrire sur ce qu'ils ont vu x fois d'affilée, de peur d'être eux aussi exclus du club
 . un licencié conserve ses armes sans reprendre de licence, sur plusieurs années : la préfecture (28000 Chartres) ne fait rien car ne contrôle rien (4)
 . la volonté répétée du président du club pour l'exclusion du premier (premier ?) lanceur d'alerte (Mr COGIS) (5)
 . le Docteur ROSSION, responsable des sports à la Mairie, à 6 m de moi, sur ma gauche ne réagit pas en AG alors que la seconde (seconde ?) lanceuse d'alerte,
Elyane LANG, se plaint d'avoir peur au stand à cause des balles qui sifflent alors qu'on est aux cibles et, toujours au même poste 9 ans après, le Docteur ROSSION ne réagit pas lorsque Pierre DEROUET se voit très clairement refuser le droit à se présenter aux élections
 . Adrien BUDELLI jeter au feu (dans un fut métal 180 litres), des centaines de fois, des cartouches 22LR foireuses car une 22 c'est dangereux, faut la détruire
 . plusieurs armes éclatées (Ruger, Python, Beretta, Desert Eagle) suite à erreurs manifestes de rechargement


Nommé responsable de stand, je n'ai, pendant 13 ans, jamais vu le moindre écart à la sécurité effectué par un nouveau. Les problèmes sont toujours venus d'anciens qui savent tout et qui sont les meilleurs sans jamais aller en compétition.

(1) : licencié convoqué ensuite à une réunion par le bureau, il ne subit du président qu'un rappel des règles de sécurité. A cette même réunion, le président exclue Elyane LANG

(2) : je suis en cible et vais tirer avec mon TOZ35, or ce monsieur m'a chassé de son club. Il sait par mes mails que j'attends depuis 10 jours une confirmation écrite de cette exclusion

(3) : il est extrêmement regrettable de lire dans certains documents que 3 (peut-être même 4 en 2022 ?) de ces décérébrés font partie du CDTEL, Comité Départemental de Tir 28

(4) : le président BUDELLI est un ami de ce monsieur et lui a déclaré qu'il pouvait se passer de prendre sa licence, la préfecture ne contrôlant rien. Ce monsieur, après quelques années, me demande de l'aider et je deviens le moteur de sa régularisation vis à vis de la loi, sans rien acheter de ses joujoux

(5) : car celui-ci a écrit à son président de second club (Les pistoliers d'Auteuil, donc à Monsieur CROCHARD (ancien président FFT) pour lui mentionner les nombreux écarts à la sécurité rencontrés à Dreux. Avec 2 autres membres du comité de direction (dont Pierre DEROUET), je m'insurge contre cette exclusion. Qui n'a pas lieu, mais Pierre et moi serons exclus rapidement ...

Tous ces problèmes ont été rapportés à la FFT : par x courriers recommandés et mails de divers licenciés, par mon dossier donné à Paris au vice-président FFT et l'unique préoccupation de la FFT (via Paris, via la ligue Centre et via le comité CDTEL) est de tout faire pour que les impactés ne puissent plus obtenir licence, donc ne plus entrer dans un stand : on est dans la minute de Monsieur Cyclopède



On m'a raconté l'anecdote suivante :  (comptez les manquements à la sécurité ...)
Un groupe de tireurs se trouvent à l'extérieur du stand 25/50 m et attendent l'arrivée des cibles électriques basculantes. Plusieurs ont une arme à la ceinture. L'un des licenciés demande à un autre de lui montrer son P38. Le second acquiesce. Le premier prend l'arme et teste la détente car les armes militaires ont toujours une DA trop élevée. Il se prend la balle dans la main, la balle rebondit sur le gravier et va casser le pare brise d'une auto garée à 15 m. Le président est alerté (1994 : par chance, un téléphone portable est disponible). Le président arrive en 20 minutes et assure au propriétaire de l'auto qu'il aura un pare brise tout neuf en très peu de temps s'il ne va pas au commissariat. Pendant ce temps là, à l'hôpital de Dreux, on recherche la balle dans la main du blessé alors que mon témoin déclare aux urgences que la balle n'y est pas .

J'ai cherché à connaître le nom du blessé. Cette information m'a été refusée.
Ma source a été récompensée ensuite de son silence par une promotion au comité de direction dudit club.


1: armes dans les holsters, en dehors du stand
2: arme approvisionnée et prête au feu, en dehors du stand
3: arme sortie du holster sans préciser qu'elle est prête à faire feu
4: manipulation de l'arme sans reculer la culasse
5: appui sur la queue de détente alors qu'une main se trouve devant l'arme
6: étouffement de l'affaire